En 1870, Monet poursuit son lent processus parallèle à la production de “bonne peinture”, à savoir le dépouillement de la mimêsis. On dit souvent qu’apprendre c’est désapprendre, et l’on crédite Bachelard de cette formule, qui est introuvable, par ailleurs. Mais peu importe, la formule existe, et elle est pertinente. Spécialement pour Monet. En 1870, il y a déjà longtemps que Monet sait peindre, et “peindre comme il faut”. Seulement, cela, depuis quelques temps, commence de l’ennuyer. D’une certaine manière, il y a un risque à bien savoir faire quelque chose, c’est de toujours réitérer cette même façon de faire …/ …